premier concours
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Conan-kun- Administratrice
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Re: premier concours
par Jen Pak Lun 6 Juil - 17:07
conan-kun a écrit:je suis désolée mais je ne donnerai pas d'avis avant d'avoir eue une réponse de tout les membres qui participe.
Oui c'est normal
mais je voulais remercier Shinichi ^^
Jen Pak- Modératrice
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Re: premier concours
par Sakura Lun 6 Juil - 20:24
Les bons mots pour la personne qui m'est chère.
Le soleil de minuit était dans le ciel d'encre du Japon, et je le regardais à travers la fenêtre de ma chambre.
10 jours. Ca faisait 10 jours que l'organisation avait été "détruite". Pour résumé, nous avions contacté la police, nous sommes allés jusqu'à leur repère et ils ont tous été arrêtés... Haibara a pu trouver par je ne sais quel hasard une gellule d'APTX 4869 et a donc mis au point un antidote... qui fonctionne. Alors Shinichi Kudo était de retour depuis officiellement 9 jours. J'étais de retour depuis 9 jours. Bien sûr, tout le monde était heureux de me revoir, y compris moi. Ran semblait la plus heureuse. Elle était même plus qu'heureuse, je crois. Je pouvais enfin la voir avec mes yeux, lui parler avec ma voix.
La routine avait repris son cours. Je passais la chercher le matin, et je la raccompagnai le soir. A chaque seconde, je me demandais comment je pouvais lui dire. Lui dire tout ce que je ressens depuis... un bon moment.
"Je t'aime". Si peu de mots qui signifiaient tellement de choses. je me demandais toujours ce qu'elle faisait, et si elle pensait à moi. Et vu l'heure qu'il était, elle dormait. Et je ferais mieux d'en faire autant.
Le lendemain, j'allais la chercher. Comme d'habitude, quand j'arrivais, elle descendait les escaliers.
- Bonjour, lui dis-je.
- Bonjour. Bien dormi ?
- Plutôt bien, répondis-je.
- Moi aussi, dit-elle en baissant la tête.
Tout de suite, je compris qu'elle voulait me dire quelque chose.
- Ran ?
- D-dis, Shinichi ? Tu... tu ne repartiras plus, n'est-ce pas ?
- Ran...
Elle s'arrêta devant moi et s'agrippa à mon uniforme.
- S'il te plaît... ne pars pas.
Je la regardai. Elle était toujours tête baissée.
- Ne me laisse plus toute seule ! dit-elle, un ton plus haut, en relevant la tête.
Et je vis ses yeux remplis de larmes. Je la pris par les épaules et plongeai mes yeux dans les siens.
- Je n'irai plus nul part. Je te le promets.
- Vraiment ?
- Vraiment. Je ne te laisserai plus jamais, parce que je...
- Coucou ! criait Sonoko en courrant vers nous.
Toujours là pour m'interrompe, elle... Mais bon, Sonoko reste Sonoko.
- Ah ? Je vous dérange pendant le câlin matinal ? dit-elle avec son sourire de chasseuse d'hommes.
- Pas du tout, dis-je en m'empressant de lâcher Ran.
- Qu'est-ce que tu vas t'imaginer ? fit cette dernière en s'empourprant.
Je devais l'être aussi. Mais par je ne sais quel miracle, Sonoko n'avait rien dit. Alors nous nous sommes mis en route pour le lycée.
- Au fait, fit Sonoko pendant la pause déjeuner. Ma soeur s'est mariée et il y a la reception demain soir. Vous venez ?
- Pourquoi pas ? fis-je après un temps de réflexion.
- D'accord, termina Ran.
- Parfait !
Ma décision était prise. Demain, à la réception, je lui dirai. Je ne veux pas avoir de regrets. Un "je n'aurais pas dû lui avouer" fait moins mal qu'un "j'aurais dû lui dire".
Pendant les cours, j'étais ailleurs. Mon regard s'attardait sur Ran ; je cherchais les bons mots - je n'allais pas lui balancer "je t'aime" comme ça - pour demain soir.
- Monsieur Kudo ?
Je tournai lentement la tête vers le professeur qui avait interrompu ma rêverie.
- Le tableau est de ce côté, m'informa-t-elle avec sarcasme. A moins que le visage de votre camarade ne soit plus divertissant ?
"C'est évident" avais-je envie de répondre. Mais je m'en abstins. Je me contentai de soupirai discrètement. Ran se tourna vers moi et me sourit. Je lui souris à mon tour et lui fis un haussement de sourcils pour lui indiquer que le prof regardait dans notre direction. Alors, elle se remit correctement.
- Je passe te chercher à 19h30, d'accord ? lui proposai-je après les cours. On ira en taxi et on retrouvera Sonoko là-bas.
- D'accord, répondit-elle en souriant. On se voit demain.
Alors elle m'embrassa sur la joue puis se précipita chez elle. Je n'eus même pas le temps de réagir, de dire ou de faire quoi que ce soit. Je rentrais chez moi sans trop savoir à quoi m'en tenir.
Le lendemain soir, je me préparais pour la soirée. J'avais déjà dit au taxi d'attendre à 19h30 devant l'agence du détective Mouri. J'avais besoin de prendre un peu l'air avant, histoire de me déstresser.
Je marchais penaudement, lorsque j'entendis un miaulement de protestation. Je baissai les yeux et vis que j'avais marché sur la queue d'un chat (clin d'oeil à Conan-kun XD). Cette petite bête appartenait aux voisins de Ran.
- Oh, désolé.
Je lui caressai la tête et allai sonner chez Ran. Le taxi était pile à l'heure.
- Salut, fit-elle en sortant.
- Salut. Tu es ravissante.
Elle se mit à rougir. Je me demandais même si de la fumée n'allait pas sortir par ses oreilles ou par son nez.
- M-merci !
Le taxi nous conduit à l'hôtel où se déroulait la réception, au 13ème étage. Tout semblait parfait, mais pourtant, j'avais un mauvais pré-sentiment. Comme si... quelque chose de grave allait se produire.
- Vous voilà ! s'écria Sonoko en venant vers nous.
Encore une fois, elle avait une de ses robes très courte et voyante avec des escarpins aussi hauts que des échasses ; tout le contraire de Ran, qui portait une robe bleue ciel qui descendait au dessous du genou avec des chaussures dont le talon ne dépassait pas deux centimètres.
- Vous êtes pile à l'heure.
- Le taxi traînait en route, lachai-je.
- Peut-être que c'est vous qui avez eu un petit contre-temps... fit-elle pleine de sous-entendus.
Sous-entendus que ni Ran, ni moi, n'avons relevé.
Elle nous invita donc à rejoindre les autres dans la salle de réception. Elle était... bondée, pour le moins qu'on puisse dire.
A peine étais-je arrivé que l'envie de rentrer chez moi s'immisça dans mon esprit. Les minutes passaient lentement, puis ce fut une heure, ppuis deux.
- Excusez-moi, je vais aux toilettes, fit Ran.
Elle quitta la salle et peu de temps après, il y eut une coupure de courant.
- Tiens ? C'est étrange... marmonna Sonoko. Mais que fait Ran ?
- Je vais aller la chercher.
Ignorant les protestations de Sonoko, j'allai vers les toilettes, lorsqu'un cri me glaça le sang. C'était sa voix. Celle de Ran. Je courrai alors vers les toilettes et entrai. Par chance, j'avais encore la montre-lampe sur moi. Je l'allumai et vis une femme, sur le sol, pleine de sang. Et Ran, à côté, qui se faisait étrangler par un homme. Alors je lui fonçai dessus et nous allâmes percuter le mur du fond. Il était un peu sonné, mais je continuais de le maintenir. Si jamais il retrouvait ses esprits, il tenterait de s'enfuir, comme tout meurtrier pris sur le fait. Il avait failli me voler ce que j'avais de plus précieux au monde...
Je ne pouvais lui permettre de s'enfuir.
- Ran !? Tu m'entends ? Ran !?
Je la voyais respirer. Elle n'était qu'évanouie. Heureusement, Sonoko arriva.
- Ran !? Shinichi !? Qu'est-ce que...
- Va chercher de l'aide ! Grouille toi !
- O-oui !
Je la vis partir en trombes. Et elle revint quelques instants plus tard avec les inspecteurs Sato et Takagi.
Ils saisirent l'homme et je pus aller auprès de Ran. Sa robe était pleine de sang. Mais ce n'était pas le sien. C'était celui de cette femme. Lorsque les ambulances sont arrivées, elles ont emporté Ran. Alors je l'accompagnai à l'hopital.
J'étais à son chevet, lui tenant la main, et j'attendais qu'elle se réveille.
- J'ai failli te perdre, murmurai-je. Mais ça n'arrivera plus jamais. Je ne le permettrai pas. Je ne te laisserai jamais mourir, et je fais le serment de te protéger, quoi qu'il arrive.
Quelqu'un entra dans la chambre. C'était Kogoro.
- La jeune femme qui était dans les toilettes avec Ran s'appelle Kyoko Miyamoto. 27 ans, secrétaire dans la socièté de son père. Pour l'instant, elle est entre la vie et la mort. Plusieurs organes vitaux ont été touchés, et on attend de voir si elle survit à l'opération.
- Je l'espère.
- L'homme qui l'a agressée et qui a agressé Ran s'appelle Katsuki Sugiyama. 32 ans, il est assistant de direction dans la société du père de la victime. Pour l'instant, on ne connait pas son mobile. Ce sale type refuse de parler sans son avocat.
Je soupirai.
- Ca ne m'étonne pas.
Mr Mouri se grattait nerveusement le bras.
- Quelque chose ne va pas, Mr Mouri ?
- Euh... je te... je te remercie d'avoir sauvé la vie de ma fille !
Me remercier lui semblait difficile, mais au final, ça ne l'était pas tant que ça.
- Je vous en prie.
- Je vais aller chercher une cannette. Tu en veux une ?
- Oui, s'il vous plaît, dis-je en lui donnant de la monnaie.
Il quitta la pièce et je sentis les doigts de Ran bouger. Elle ouvrit lentement les yeux. Je fus soulagé.
- Où suis-je ? demanda-t-elle, la voix brisée.
- A l'hôpital. Ne t'en fais pas, tu n'as pas été blessée.
- J'ai mal... à la gorge, murmura-t-elle. Ah, oui, c'est vrai... j'ai vu cet homme en train de poignarder une femme, alors il m'a sauté dessus pour m'étrangler...
- Chut, n'y repense pas. Il a été arrêté, tu ne risques plus rien.
Elle mit son autre main sur la mienne et me fit un sourire très tendre.
- J'ai confiance en toi. Tu as dit que tu allais me protéger n'est-ce pas ?
- Euh, oui.
Elle m'avait entendu...
Le soleil de minuit était dans le ciel d'encre du Japon, et je le regardais à travers la fenêtre de ma chambre.
10 jours. Ca faisait 10 jours que l'organisation avait été "détruite". Pour résumé, nous avions contacté la police, nous sommes allés jusqu'à leur repère et ils ont tous été arrêtés... Haibara a pu trouver par je ne sais quel hasard une gellule d'APTX 4869 et a donc mis au point un antidote... qui fonctionne. Alors Shinichi Kudo était de retour depuis officiellement 9 jours. J'étais de retour depuis 9 jours. Bien sûr, tout le monde était heureux de me revoir, y compris moi. Ran semblait la plus heureuse. Elle était même plus qu'heureuse, je crois. Je pouvais enfin la voir avec mes yeux, lui parler avec ma voix.
La routine avait repris son cours. Je passais la chercher le matin, et je la raccompagnai le soir. A chaque seconde, je me demandais comment je pouvais lui dire. Lui dire tout ce que je ressens depuis... un bon moment.
"Je t'aime". Si peu de mots qui signifiaient tellement de choses. je me demandais toujours ce qu'elle faisait, et si elle pensait à moi. Et vu l'heure qu'il était, elle dormait. Et je ferais mieux d'en faire autant.
Le lendemain, j'allais la chercher. Comme d'habitude, quand j'arrivais, elle descendait les escaliers.
- Bonjour, lui dis-je.
- Bonjour. Bien dormi ?
- Plutôt bien, répondis-je.
- Moi aussi, dit-elle en baissant la tête.
Tout de suite, je compris qu'elle voulait me dire quelque chose.
- Ran ?
- D-dis, Shinichi ? Tu... tu ne repartiras plus, n'est-ce pas ?
- Ran...
Elle s'arrêta devant moi et s'agrippa à mon uniforme.
- S'il te plaît... ne pars pas.
Je la regardai. Elle était toujours tête baissée.
- Ne me laisse plus toute seule ! dit-elle, un ton plus haut, en relevant la tête.
Et je vis ses yeux remplis de larmes. Je la pris par les épaules et plongeai mes yeux dans les siens.
- Je n'irai plus nul part. Je te le promets.
- Vraiment ?
- Vraiment. Je ne te laisserai plus jamais, parce que je...
- Coucou ! criait Sonoko en courrant vers nous.
Toujours là pour m'interrompe, elle... Mais bon, Sonoko reste Sonoko.
- Ah ? Je vous dérange pendant le câlin matinal ? dit-elle avec son sourire de chasseuse d'hommes.
- Pas du tout, dis-je en m'empressant de lâcher Ran.
- Qu'est-ce que tu vas t'imaginer ? fit cette dernière en s'empourprant.
Je devais l'être aussi. Mais par je ne sais quel miracle, Sonoko n'avait rien dit. Alors nous nous sommes mis en route pour le lycée.
- Au fait, fit Sonoko pendant la pause déjeuner. Ma soeur s'est mariée et il y a la reception demain soir. Vous venez ?
- Pourquoi pas ? fis-je après un temps de réflexion.
- D'accord, termina Ran.
- Parfait !
Ma décision était prise. Demain, à la réception, je lui dirai. Je ne veux pas avoir de regrets. Un "je n'aurais pas dû lui avouer" fait moins mal qu'un "j'aurais dû lui dire".
Pendant les cours, j'étais ailleurs. Mon regard s'attardait sur Ran ; je cherchais les bons mots - je n'allais pas lui balancer "je t'aime" comme ça - pour demain soir.
- Monsieur Kudo ?
Je tournai lentement la tête vers le professeur qui avait interrompu ma rêverie.
- Le tableau est de ce côté, m'informa-t-elle avec sarcasme. A moins que le visage de votre camarade ne soit plus divertissant ?
"C'est évident" avais-je envie de répondre. Mais je m'en abstins. Je me contentai de soupirai discrètement. Ran se tourna vers moi et me sourit. Je lui souris à mon tour et lui fis un haussement de sourcils pour lui indiquer que le prof regardait dans notre direction. Alors, elle se remit correctement.
- Je passe te chercher à 19h30, d'accord ? lui proposai-je après les cours. On ira en taxi et on retrouvera Sonoko là-bas.
- D'accord, répondit-elle en souriant. On se voit demain.
Alors elle m'embrassa sur la joue puis se précipita chez elle. Je n'eus même pas le temps de réagir, de dire ou de faire quoi que ce soit. Je rentrais chez moi sans trop savoir à quoi m'en tenir.
Le lendemain soir, je me préparais pour la soirée. J'avais déjà dit au taxi d'attendre à 19h30 devant l'agence du détective Mouri. J'avais besoin de prendre un peu l'air avant, histoire de me déstresser.
Je marchais penaudement, lorsque j'entendis un miaulement de protestation. Je baissai les yeux et vis que j'avais marché sur la queue d'un chat (clin d'oeil à Conan-kun XD). Cette petite bête appartenait aux voisins de Ran.
- Oh, désolé.
Je lui caressai la tête et allai sonner chez Ran. Le taxi était pile à l'heure.
- Salut, fit-elle en sortant.
- Salut. Tu es ravissante.
Elle se mit à rougir. Je me demandais même si de la fumée n'allait pas sortir par ses oreilles ou par son nez.
- M-merci !
Le taxi nous conduit à l'hôtel où se déroulait la réception, au 13ème étage. Tout semblait parfait, mais pourtant, j'avais un mauvais pré-sentiment. Comme si... quelque chose de grave allait se produire.
- Vous voilà ! s'écria Sonoko en venant vers nous.
Encore une fois, elle avait une de ses robes très courte et voyante avec des escarpins aussi hauts que des échasses ; tout le contraire de Ran, qui portait une robe bleue ciel qui descendait au dessous du genou avec des chaussures dont le talon ne dépassait pas deux centimètres.
- Vous êtes pile à l'heure.
- Le taxi traînait en route, lachai-je.
- Peut-être que c'est vous qui avez eu un petit contre-temps... fit-elle pleine de sous-entendus.
Sous-entendus que ni Ran, ni moi, n'avons relevé.
Elle nous invita donc à rejoindre les autres dans la salle de réception. Elle était... bondée, pour le moins qu'on puisse dire.
A peine étais-je arrivé que l'envie de rentrer chez moi s'immisça dans mon esprit. Les minutes passaient lentement, puis ce fut une heure, ppuis deux.
- Excusez-moi, je vais aux toilettes, fit Ran.
Elle quitta la salle et peu de temps après, il y eut une coupure de courant.
- Tiens ? C'est étrange... marmonna Sonoko. Mais que fait Ran ?
- Je vais aller la chercher.
Ignorant les protestations de Sonoko, j'allai vers les toilettes, lorsqu'un cri me glaça le sang. C'était sa voix. Celle de Ran. Je courrai alors vers les toilettes et entrai. Par chance, j'avais encore la montre-lampe sur moi. Je l'allumai et vis une femme, sur le sol, pleine de sang. Et Ran, à côté, qui se faisait étrangler par un homme. Alors je lui fonçai dessus et nous allâmes percuter le mur du fond. Il était un peu sonné, mais je continuais de le maintenir. Si jamais il retrouvait ses esprits, il tenterait de s'enfuir, comme tout meurtrier pris sur le fait. Il avait failli me voler ce que j'avais de plus précieux au monde...
Je ne pouvais lui permettre de s'enfuir.
- Ran !? Tu m'entends ? Ran !?
Je la voyais respirer. Elle n'était qu'évanouie. Heureusement, Sonoko arriva.
- Ran !? Shinichi !? Qu'est-ce que...
- Va chercher de l'aide ! Grouille toi !
- O-oui !
Je la vis partir en trombes. Et elle revint quelques instants plus tard avec les inspecteurs Sato et Takagi.
Ils saisirent l'homme et je pus aller auprès de Ran. Sa robe était pleine de sang. Mais ce n'était pas le sien. C'était celui de cette femme. Lorsque les ambulances sont arrivées, elles ont emporté Ran. Alors je l'accompagnai à l'hopital.
J'étais à son chevet, lui tenant la main, et j'attendais qu'elle se réveille.
- J'ai failli te perdre, murmurai-je. Mais ça n'arrivera plus jamais. Je ne le permettrai pas. Je ne te laisserai jamais mourir, et je fais le serment de te protéger, quoi qu'il arrive.
Quelqu'un entra dans la chambre. C'était Kogoro.
- La jeune femme qui était dans les toilettes avec Ran s'appelle Kyoko Miyamoto. 27 ans, secrétaire dans la socièté de son père. Pour l'instant, elle est entre la vie et la mort. Plusieurs organes vitaux ont été touchés, et on attend de voir si elle survit à l'opération.
- Je l'espère.
- L'homme qui l'a agressée et qui a agressé Ran s'appelle Katsuki Sugiyama. 32 ans, il est assistant de direction dans la société du père de la victime. Pour l'instant, on ne connait pas son mobile. Ce sale type refuse de parler sans son avocat.
Je soupirai.
- Ca ne m'étonne pas.
Mr Mouri se grattait nerveusement le bras.
- Quelque chose ne va pas, Mr Mouri ?
- Euh... je te... je te remercie d'avoir sauvé la vie de ma fille !
Me remercier lui semblait difficile, mais au final, ça ne l'était pas tant que ça.
- Je vous en prie.
- Je vais aller chercher une cannette. Tu en veux une ?
- Oui, s'il vous plaît, dis-je en lui donnant de la monnaie.
Il quitta la pièce et je sentis les doigts de Ran bouger. Elle ouvrit lentement les yeux. Je fus soulagé.
- Où suis-je ? demanda-t-elle, la voix brisée.
- A l'hôpital. Ne t'en fais pas, tu n'as pas été blessée.
- J'ai mal... à la gorge, murmura-t-elle. Ah, oui, c'est vrai... j'ai vu cet homme en train de poignarder une femme, alors il m'a sauté dessus pour m'étrangler...
- Chut, n'y repense pas. Il a été arrêté, tu ne risques plus rien.
Elle mit son autre main sur la mienne et me fit un sourire très tendre.
- J'ai confiance en toi. Tu as dit que tu allais me protéger n'est-ce pas ?
- Euh, oui.
Elle m'avait entendu...
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Re: premier concours
par Sakura Lun 6 Juil - 20:52
Quelques jours plus tard, Mlle Kyoko ne survécut pas. Alors demain, Mr Sugiyama serait transferé à la prison de Tokyo, inculpé pour meurtre.
- Je vais aller prier pour Mlle Kyoko, fit Ran, un samedi soir. Je n'ai pas pu la sauver, alors c'est le moins que je puisse faire.
- Je t'accompagne, décrétai-je.
- Non, merci, ça va aller, ne t'embête pas.
- On ne sait jamais. J'ai un mauvais présentiment. Je m'éloignerai un peu, si tu veux, mais tu ne partiras pas toute seule.
Elle me regarda en penchant un peu la tête sur le côté. Elle ne comprenait pas, et sur le chemin vers le temps, je vis qu'elle voulait me dire quelque chose.
- Je ne t'ai pas encore remercié, fit-elle.
- Hm ? De quoi ?
- De m'avoir sauvée. Je te remercie. Si tu n'avais pas été là, je crois que je serais morte en même temps que Kyoko.
- De rien.
Lorsque nous arrivâmes au temple, je me mis un peu en retrait le temps qu'elle prie. Mon portable sonna.
- Allô ?
- Excuse moi de te déranger, fit la voix inquiète de l'inspecteur Takagi. Mais est-ce que Ran est avec toi ?
- Oui, mais...
- Vite ! Mets-la en sécurité ! Sugiyama s'est échappé ! Il vous a suivis ! Tu dois vite l'emmener dans un endroit sûr !
- D'accord !
Je courrai vers Ran immédiatement après avoir raccroché, pris sa main, et l'entrainai le plus vite possible en dehors du temps.
- Shinichi !? Qu'est-ce que... ?
- Le meurtrier s'est fait la malle ! Il faut vite que je te mette en sécurité !
Nous courrâmes un bon moment, jusqu'à l'instant où nous entendîmes des coups de feu. Ran cria.
- Allez, on est bientôt arrivés !
Il y eut encore un coup de feu, puis deux, puis trois. Même en courrant, je sentais sa main qui tremblait.
Je voulais l'emmener au commissariat, mais il était à l'opposé du temple, et c'était l'endroit le plus proche pour la mettre en sécurité. Nous étions à mi-chemin.
La main de Ran glissa de la mienne et Ran s'arrêta.
- Je n'en peux plus, dit-elle en essayant de reprendre son souffle.
Il y eut encore un coup de feu.
- Ran ! On n'est plus très loin ! Courage !
- Je ne vais pas y arriver...
Plus qu'une solution s'imposait alors à moi. Je passai son bras autour de mes épaules, soulevai ses jambes et la portai dans mes bras pour me remettre à courrir le plus vite possible.
- Mais qu'est-ce que tu fais ?! fit-elle en rougissant tandis que Sugiyama nous tirait dessus.
- Si on ne continue pas à courir, on va se faire tuer ! lui répondis-je.
- Pourquoi tu fais tout ça ? Pourquoi est-ce que tu risques ta vie pour moi ? Tu pourrais très bien te faire tuer dans quelques instants à cause de moi, alors pose moi par terre
- C'est vrai, il y a peu de chances pour qu'on s'en sorte. Peu, mais pas inexistantes. Alors si jamais on ne s'en sort pas, je dois te dire quelque chose avant. Quelque chose de très important.
- Shinichi ! protesta-t-elle.
- Je t'aime, Ran. Plus que tout au monde. Alors je ne te laisserai pas mourir. Pas sans me battre, pas sans faire tout ce qui est en mon pouvoir !
Elle ne me répondit pas, et c'était mieux ainsi. Je pouvais me concentrer. Sauf que je commencais à fatiguer. Mon corps refusait de m'obéir, mes jambes flanchèrent et je tombai à genoux.
- Shinichi !
Le tuer s'approchait de nous en ricanant.
- Cours, Ran, lui dis-je, essoufflé.
- C'est la fin pour vous, fit-il. J'avoue que pour des gamins, vous vous êtes biens débrouillés. Je me serai bien amusé, grâce à vous. Manque de chance dans votre cas, je gagne toujours.
Je mis Ran derrière moi et Sugiyama pointa son arme sur moi. Alors je tentai le tout pour le tout et saisis son poignet pour le faire tirer dans le vide. Une fois le chargeur vidé, Ran le finit au karaté avec un magnifique yokogeri tandis que des voitures de police ainsi qu'une ambulance nous encerlaient.
- Shinichi ! dit-elle en pleurant. Ca va aller, ne t'en fais pas. Ne bouge surtout pas.
- Mais ça va très bien, protestai-je.
Soudainement, j'eus une douleur intense au ventre. Lorsque je mis ma main dessus, je sentis un liquide chaud. Du sang. J'avais reçu une balle perdue. Ran me tenait la main et ses larmes tombaient sur le béton ensanglanté.
- Shinichi ! Tiens bon, les ambulanciers sont là ! Ca va aller !
Elle avait beau dire ça, j'étais sûr qu'elle essayait de se convaincre elle-même.
Et je fus transporté à l'hôpital le plus proche où je perdis connaissance.
A mon réveil, je fus ébloui par une intense lumière. Je regardai un peu partout, et vis Ran, endormie à mon chevet qui me tenait la main. En bougeant, je l'avais réveillée.
- Oh, Shinichi ! dit-elle en recommencant à pleurer.
Je me permis un geste inhabituel : j'essuyai une de ses larmes avec mon pouce.
- Je vais... bien, dis-je en essayant péniblement de me redresser. Ne t'en fais pas.
- Ah non, pas question, dit-elle en appuyant sur mes épaules pour me garder allongé.
Elle me fit un sourire tendre.
- Shinichi, je peux... faire quelque chose ? demanda-t-elle.
- Euh, oui, vas-y, lui répondis-je intrigué.
Je me demandais bien ce qu'elle avait l'intention de faire. Mais je m'attendais à tout sauf à ça lorsqu'elle prit mon visage entre ses douces mains d'ange pour m'embrasser.
- Eh bien moi aussi, je t'aime, Shinichi, murmura-t-elle à mon oreille. Plus que tu ne le crois.
- Ca, c'est ce qu'on verra, répondis-je en souriant avant de lui rendre son baiser.
Finalement, grâce à cette expérience, je pus comprendre que la valeur des êtres qui nous sont chers n'apparaît qu'à la frontière entre leur vie et leur mort. Mais, j'ai eu de la chance. La chance d'avoir pu survivre pour pouvoir construire un futur avec ma précieuse personne...
Fin ^^
- Je vais aller prier pour Mlle Kyoko, fit Ran, un samedi soir. Je n'ai pas pu la sauver, alors c'est le moins que je puisse faire.
- Je t'accompagne, décrétai-je.
- Non, merci, ça va aller, ne t'embête pas.
- On ne sait jamais. J'ai un mauvais présentiment. Je m'éloignerai un peu, si tu veux, mais tu ne partiras pas toute seule.
Elle me regarda en penchant un peu la tête sur le côté. Elle ne comprenait pas, et sur le chemin vers le temps, je vis qu'elle voulait me dire quelque chose.
- Je ne t'ai pas encore remercié, fit-elle.
- Hm ? De quoi ?
- De m'avoir sauvée. Je te remercie. Si tu n'avais pas été là, je crois que je serais morte en même temps que Kyoko.
- De rien.
Lorsque nous arrivâmes au temple, je me mis un peu en retrait le temps qu'elle prie. Mon portable sonna.
- Allô ?
- Excuse moi de te déranger, fit la voix inquiète de l'inspecteur Takagi. Mais est-ce que Ran est avec toi ?
- Oui, mais...
- Vite ! Mets-la en sécurité ! Sugiyama s'est échappé ! Il vous a suivis ! Tu dois vite l'emmener dans un endroit sûr !
- D'accord !
Je courrai vers Ran immédiatement après avoir raccroché, pris sa main, et l'entrainai le plus vite possible en dehors du temps.
- Shinichi !? Qu'est-ce que... ?
- Le meurtrier s'est fait la malle ! Il faut vite que je te mette en sécurité !
Nous courrâmes un bon moment, jusqu'à l'instant où nous entendîmes des coups de feu. Ran cria.
- Allez, on est bientôt arrivés !
Il y eut encore un coup de feu, puis deux, puis trois. Même en courrant, je sentais sa main qui tremblait.
Je voulais l'emmener au commissariat, mais il était à l'opposé du temple, et c'était l'endroit le plus proche pour la mettre en sécurité. Nous étions à mi-chemin.
La main de Ran glissa de la mienne et Ran s'arrêta.
- Je n'en peux plus, dit-elle en essayant de reprendre son souffle.
Il y eut encore un coup de feu.
- Ran ! On n'est plus très loin ! Courage !
- Je ne vais pas y arriver...
Plus qu'une solution s'imposait alors à moi. Je passai son bras autour de mes épaules, soulevai ses jambes et la portai dans mes bras pour me remettre à courrir le plus vite possible.
- Mais qu'est-ce que tu fais ?! fit-elle en rougissant tandis que Sugiyama nous tirait dessus.
- Si on ne continue pas à courir, on va se faire tuer ! lui répondis-je.
- Pourquoi tu fais tout ça ? Pourquoi est-ce que tu risques ta vie pour moi ? Tu pourrais très bien te faire tuer dans quelques instants à cause de moi, alors pose moi par terre
- C'est vrai, il y a peu de chances pour qu'on s'en sorte. Peu, mais pas inexistantes. Alors si jamais on ne s'en sort pas, je dois te dire quelque chose avant. Quelque chose de très important.
- Shinichi ! protesta-t-elle.
- Je t'aime, Ran. Plus que tout au monde. Alors je ne te laisserai pas mourir. Pas sans me battre, pas sans faire tout ce qui est en mon pouvoir !
Elle ne me répondit pas, et c'était mieux ainsi. Je pouvais me concentrer. Sauf que je commencais à fatiguer. Mon corps refusait de m'obéir, mes jambes flanchèrent et je tombai à genoux.
- Shinichi !
Le tuer s'approchait de nous en ricanant.
- Cours, Ran, lui dis-je, essoufflé.
- C'est la fin pour vous, fit-il. J'avoue que pour des gamins, vous vous êtes biens débrouillés. Je me serai bien amusé, grâce à vous. Manque de chance dans votre cas, je gagne toujours.
Je mis Ran derrière moi et Sugiyama pointa son arme sur moi. Alors je tentai le tout pour le tout et saisis son poignet pour le faire tirer dans le vide. Une fois le chargeur vidé, Ran le finit au karaté avec un magnifique yokogeri tandis que des voitures de police ainsi qu'une ambulance nous encerlaient.
- Shinichi ! dit-elle en pleurant. Ca va aller, ne t'en fais pas. Ne bouge surtout pas.
- Mais ça va très bien, protestai-je.
Soudainement, j'eus une douleur intense au ventre. Lorsque je mis ma main dessus, je sentis un liquide chaud. Du sang. J'avais reçu une balle perdue. Ran me tenait la main et ses larmes tombaient sur le béton ensanglanté.
- Shinichi ! Tiens bon, les ambulanciers sont là ! Ca va aller !
Elle avait beau dire ça, j'étais sûr qu'elle essayait de se convaincre elle-même.
Et je fus transporté à l'hôpital le plus proche où je perdis connaissance.
A mon réveil, je fus ébloui par une intense lumière. Je regardai un peu partout, et vis Ran, endormie à mon chevet qui me tenait la main. En bougeant, je l'avais réveillée.
- Oh, Shinichi ! dit-elle en recommencant à pleurer.
Je me permis un geste inhabituel : j'essuyai une de ses larmes avec mon pouce.
- Je vais... bien, dis-je en essayant péniblement de me redresser. Ne t'en fais pas.
- Ah non, pas question, dit-elle en appuyant sur mes épaules pour me garder allongé.
Elle me fit un sourire tendre.
- Shinichi, je peux... faire quelque chose ? demanda-t-elle.
- Euh, oui, vas-y, lui répondis-je intrigué.
Je me demandais bien ce qu'elle avait l'intention de faire. Mais je m'attendais à tout sauf à ça lorsqu'elle prit mon visage entre ses douces mains d'ange pour m'embrasser.
- Eh bien moi aussi, je t'aime, Shinichi, murmura-t-elle à mon oreille. Plus que tu ne le crois.
- Ca, c'est ce qu'on verra, répondis-je en souriant avant de lui rendre son baiser.
Finalement, grâce à cette expérience, je pus comprendre que la valeur des êtres qui nous sont chers n'apparaît qu'à la frontière entre leur vie et leur mort. Mais, j'ai eu de la chance. La chance d'avoir pu survivre pour pouvoir construire un futur avec ma précieuse personne...
Fin ^^
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Re: premier concours
par Maxikonan Mar 7 Juil - 10:58
Voici la fanfic de lachelod :
(oui, je coupe là pour le suspens ^^)Résumer : Shinichi, (Redevenue adulte), Ran, Heiji, Kazuha, Sonoko et Makoto maintenant 50 ans ainsi que Mitsuhiko, Genta, Ayumi et Haibara qui ont eux 40 ans, sont invité pour le mariage de la fille d’Ayumi.
Ran : Les mariages me rende toujours nostalgique.
Sonoko : Te rappelles-tu de votre mariage toi et Shinichi ? Qui ai, d'ailleurs, encore en train de parler avec Makoto.
Ran : Mais bien sur, quelle question.
Ran, Kazuha et Sonoko rigole.
Heiji : Pourquoi rigolent t’elles encore ?
Shinichi : Laisse les, ce ne sont que des filles qui ont gardés leur jeunesses d’il y a 33 ans.
Makoto : Ca ne nous rajeunis pas.
Heiji : Arrête de dire ca, sa va nous apporter a poisse.
Makoto : Hahaha, Désoler, hahaha.
Les sonnes cloche le début du Mariage.
Kazuha : Vite, nous allons rater le début.
Tous les invités rentre dans l' Eglise pour la cérémonie.
Nos 6 amis se sont assis près de Genta, Haibara, Mitsuhiko et d’Ayumi.
Ayumi : En chuchotant; Dis - donc, vous êtes en retard !
Ran : En chuchotant; Nous vraiment désoler.
La Mariée entre dans la salle.
Ran : En chuchotant; Quelle est belle !
Heiji : C'est bizarre, je ne vois pas le Marié.
Kazuha : En chuchotant; Chut, fais moins de bruit, tu me fais honte.
Shinichi : Il à raison, le Marié doit être là avant la Mariée.
La Mère du Marié : Je vais aller le chercher.
30 Minute plus tard.
Mitsuhiko : C'est très bizarre, voilà 30 Minute que la cérémonie aurait dû commencer.
La Mère du Marié : Kyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Makoto : Cela venait de la loge de la Mariée.
Shinichi, Makoto, Heiji, Mitsuhiko et Haibara cours à la loge de la Mariée
Heiji : Kazuha, appelle vite une ambulance et la police.
Shinichi : Trop, tard il est déjà mort.
Arisa(Fille d’Ayumi) : Non, Kiyoshi, pourquoi toi.
Makoto : Que tout le monde sorte du lieu du crime. Sonoko, accompagne tout le monde dans l’Église et dit leurs que nous allons les interroger.
Sonoko : D’accord.
Heiji : Makoto, vas les interroger, toi qui est policier, avec Haibara en attendant la police.
Makoto : Bien
Haibara : D’accord
Shinichi : Regarde Heiji, je pense qu’il a été étouffé, mais il n’y a pas l’arme du crime.
Heiji : Tu as raison, il faudrait aussi fouiller chaque personne même si elles ont un alibi. Kazuha et Ran, allé fouiller les dames.
Mitsuhiko : Moi, je vais fouiller les hommes.
Shinichi : Non, tu ne peux pas y aller tous seul il faut que Genta vienne avec toi.
Gentaet Mitsuhiko : Entendu.
La police est arrivé sur les lieux ainsi que 30 minute sont passer
Makoto : Seul 3 personne n’ont un alibi vérifiables : L’ex petit ami de la marier, Akimoto, Le meilleur ami du marier, Yasuo, et La mère du marier, Nari.
Yasuo : Pourquoi m’accuser vous, je suis son meilleur pote enfin j’étais son meilleur pote.
Nari : Moi, j’étais sa mère, une mère assassinerai t’elle son propre fils ?
Akimoto : … Arrêter de mentir, chacun de vous avez un mobile.
Inspecteur Dupain : Un mobile ?
Akimoto : Oui, Nari, sa mère, avais eu une grosse dispute contre son fils parce qu’il voulait se marier avec une autre personne que celui a qui il était promis, en plus se ne sont pas ses vrai parents mais ses parent adoptif.
Akimoto : Quand as Yasuo, il lui devait de forte somme dette mais même si il travaillait toute sa vie il n’aurait pu rembourser Kiyoshi.
Inspecteur Dupain : Comment savez vous cela ?
Akimoto : J’ai fais des recherche.
Neri : Vous parlez de nous, mais maintenant parlons de vous.
Akimoto : Comment ???
Neri : Je sais que lui en vouliez qu’il est pris votre petite amie.
Akimoto : Impossible, je lui ai même donné plusieurs conseille et je lui ais parler de tout se que je savais sur Arisa.
Shinichi : *Je pense avoir compris qui la assassiner et le pourquoi mais je n’ai pas de preuve*
Heiji : Dit, tu crois que mon plan marcherait ?
Shinichi : Quel plan ?
Heiji : Ecoute bien …
Heiji chuchote à l’oreille de Shinichi
Heiji : Alors ?
Shinichi : Je l’espère mais tu fais bien ton rôle pour que sa marche.
Heiji : J’y vais
Shinichi : INSPECTEUR J’AI RESOLU L’AFFAIRE.
Inspecteur Dupain : Alors, dites le nous !
Shinichi : Comme vous le savez le meurtrier a étrangler la victime avec quelque chose de résistant, seulement ont la pas trouver sauf quelle est devant vous, c’est la victime qui la porte, c’est sa cravate.
Inspecteur Dupain : Alor comment le meurtrier c’est il prit pour le tuer ?
Shinichi : Il n’a rien fais il a juste attendue que la victime enlève sa cravate. Tout étais prévu, il savais qu’il enlèverais sa cravate.
Shinichi : Seulement le meurtrier c’est tromper de victime, et se meurtrier c’est vous …
Dernière édition par Maxikonan le Mar 7 Juil - 10:59, édité 1 fois
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Re: premier concours
par Maxikonan Mar 7 Juil - 10:58
Shinichi : … M.Akimoto.
Shinichi : Vous vous êtes tromper de victime car vos information étais fausse.
Heiji réapparais après s’êtres déguiser en Kiyoshi
Heiji : En contrefaisant sa voie Tu
as perdu Akimoto, tu voulais me tuer mais tu a en faite tuer un de mes
ami que j’ai demander a êtres déguiser et d’aller dans la loge d’Arisa
car je savais tous se que tu voulais faire *argh, qu’est ce qu’il
m’arrive ? *j’ai très mal a la poitrine*
Akimoto : Non, alors j’aurais tué un innocent. Quel idiot.
Inspecteur Dupain : Mais qu’est ce que vous me racontez ? Le corps par terre c’est celui d’Kiyoshi, Les médecin l’ont affirmé.
Akimoto : Hein ?!
Shinichi : Voila ma preuve qu’Akimoto à tuer Kiyoshi.
Heiji : Et oui, l’acteur de Kiyoshi c’est moi *Argh, Je commence à avoir de plus en plus mal a la poitrine*
Akimoto : Vous avez raison, c’est moi qui l’ai tué. Mais pas parce qu’il a pris celle que j’aime, mais pour ce quelle allait devenir.
Arisa : Quoi ?
Akimoto
: Arisa, je t’aime toujours même si je ne voulais te rendre triste,
c’est homme ou plutôt cette femme voulais t’étrangler avec sa cravate
pour que ta mère pleure, pour quelle comprenne ce que c’est de perdre
quelqu’un qu’ont aime.
Arisa : Une femme ?
Akimoto
: Mme.Ayumi, dans le temps vous avez travaillé avec une femme qui
vivais avec sa fille unique ? Qui c’est assassiner 3 jours après que
vous aviez pris sa place par décision du directeur ?
Heiji : *argh*
Ayumi : Oui, mais alors cela serais la fille de ma meilleur coéquipière ?
Akimoto
: Exact, mais elle vous en a voulu toute sa vie. Seulement, se n’ai pas
pour sa que sa mère c’est suicider. Elle voulait pas qu’on apprenne que
le directeur la renvoyer à cause son enfant qui avait un problème de
cœur et donc elle pourrait souvent rater les jours de travaille la a
cause d’elle, il était avare et ne voulais pas payer quelqu’un qui
raterais souvent le boulot.
Kazuha
: * Un problème de cœur ? Le père de Heiji avait eu un problème de cœur
et ai mort comme sa et Heiji a-t-il hérité de se problème ?*
Akimoto : Ma conduite est impardonnable mais mon cœur pleure pour avoir tuer quelqu’un et pour avoir fais pleurer celle que j’aime.
Heiji : *argh, c’est de pire en pire*
Heiji s’écroule par terre
Kazuha : Heiji !!!
Shinichi : Ran, appelle une ambulance.
Ran : …
Shinichi : Ran vite dépêche-toi.
Ran : Oui.
Kazuha : Heiji, Heiji, HEIJIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!
Plus
tard, l’ambulance arrive pour emmener le corps de Heiji Hatori, Le
Grand Détective d’Osaka, personne ne voudrait connaitre un jour où des
milliers de cœur sont transpercé par la tristesse et par l’amour
d’avoir perdu quelqu’un.
Mon
commentaire : Je cherchais une histoire triste comme celle de Molière
qui est mort juste après la comédie. Donc, j’ai eu beaucoup de mal à
faire l’histoire et donc je n’ai pas trouvé mieux (J’ai mis trop de
personnages). Donc j’espère que vous l’apprécier et que vous
comprendriez se que j’ai écrits.
Je suis Française mais j’ai une langue qui parle mal le Français.
Les * sont se que pense les personnages.
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Re: premier concours
par Sakura Mar 7 Juil - 12:15
Shinichi a écrit:Waw! Oo Tout est dit! Quel talent Naomi!
Merci Shinichi ^^ *rougit* ^^
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Re: premier concours
par lachelod Mar 7 Juil - 13:58
Hahaha j'ai un peu honte 
de montrer ma fanfic, je suis un petit pois dans un plat avec des frites, vous etes bien meilleur que moi. Un jour, peut etre, l'un de vous sera le sucesseur de Gosho Aoyama. 
Heureusement que mes professeur de Francais ne lise pas mes redactions devant toute la classe.
de montrer ma fanfic, je suis un petit pois dans un plat avec des frites, vous etes bien meilleur que moi. Un jour, peut etre, l'un de vous sera le sucesseur de Gosho Aoyama. Heureusement que mes professeur de Francais ne lise pas mes redactions devant toute la classe.
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Re: premier concours
par Conan-kun Sam 11 Juil - 11:52
Shinryu et Kyrioku j'attends depuis trop longtemps vos fic !!!!
Vous ralentissez le concours, alors soit vous déclarez forfait soit vous me donnez vos fic avant Vendredi prochain !!!!! C'est ma DERNIÈRE limite
Vous ralentissez le concours, alors soit vous déclarez forfait soit vous me donnez vos fic avant Vendredi prochain !!!!! C'est ma DERNIÈRE limite
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Re: premier concours
par Maxikonan Mer 15 Juil - 16:49
The White Angel à vu l'annonce il y a quelques jours et m'a fait parvenir cette fanfic il y a 2 jours
je confirme la dernière phraseThe White Angel a écrit: Shinichi Kudo: La révélation
Voila. Nous étions arrivés à terme de mon histoire.Rena Mizunashi,agent de la C.I.A.,avait réussi à coincer l'organisation,avec l'aide de son frère et du professeur Agasa. En effet,Eisuke,équipé du célèbre noeud papillon modullateur de voix,avait assommé Gin et s'était fait passer pour lui.Seul le Boss restait introuvable.
Deux heures de recherches plus tard,on avait découvert que le boss se trouvait etre le détective Saguru Hakuba.Celui-ci ,avait ingurgité une quantité énorme de cyanure de potassium,ce qui avait entrainé une mort immédiate.En fouillant dans l'ordinateur des hommes en noir,haibara avait trouvé la composition de l'A.P.T.X.4869,puis;une heure plus tard,l'antidote.
J'étais enfin redevenu celui que je voulais etre depuis si longtemps:Shinichi kudo,Le Détective Lycéen.
Mais il me reste maintenant un problème mojeure: Ran.Que dois-je lui dire? Et comment?
Quand,j'entends tout d'un coup une voix me répondre: "-Le plus simplement possible
-Haibara?Tu...Comment as-tu deviné?"
Elle change tout à coup de propos,comme pour éviter une gene de ma part:
"-Je suis venu récupérer mes affaires chez le proffesseur et te dire au revoir et merci
-Déjà?Bon...eh bien...au revoir haibara!"
Et elle part sans un mot de plus."Dire que je ne la reverrais plus jamais..."je pense.
Puis,je rentre chez moi et décroche spontanément le combiné du téléphone pour appeler Ran et lui dire toute la vérité.
Soudain,le téléphone sonne.Ran décroche et dit d'une voix monotone et triste:
" -Bureau du Détective mouri, j'écoute.
-Salut ran,ça faisait longtemps!
-Shi...Shin...SHINICHI?
-Oui
-Shinichi,c'est vraiment toi?
-Et alors,qui d'autre voudrais-tu que ce soit?Il faut que je te parle Ran,c'est important!
-D'accord Shinichi,je t'écoute.
-Voyons Ran!Si je te dis que c'est PRIVE et important,crois-tu que je vais tele dire comme ça,au téléphone?
-Mais Shinichi... Je...
-Viens tout de suite chez moi s'il te plait Ran!!!
-D'accord Shinichi.Si s'est si important que ça,alors j'arrive tout de suite.
-Merci Ran. Alors à tout de suite
-A tout de suite Shinichi "
cinq minutes plus tard:
" -Salut Ran
- Salut. Alors,qu'est-ce que tu avais à me dire?
-La vérité
-La vérité? Quelle vérité?
-Sur mon identité.
-Explique-toi.
-Eh bien...Voila,Connais-tu Conan Edogawa?
-Oui! Il est parti hier pour Londres.
-Non Ran! Il est là!
-Tu veux dire que...Non...C'est absurde!
-Si Ran!Je suis Shinichi Kudo!
-Mais c'est impossible!Et puis d'abord,pourquoi as-tu fait ça?
-Je n'ai pas eu le choix!
-que veux-tu dire par là? On t'a obligé?
-En quelque sorte.Oui.
-Mais qui?
-L'organisation des hommes en noir. Quand on était au Tropical Land tous les deux,je suis parti brusquement.Tu t'en souviens
-Et comment que je m'en souviens!J'en fait des cauchemards toutes les nuits!
-Eh bien j'étais en train de les espionner,quand l'un d'eux m'a frappé par derrière et m'a administré un poison qui m'a fait rétrécir.
-Alors,c'est pour ça que...
- Exactement!J'ai pris l'identité de Conan Edogawa pour pouvoir enqueter sur eux.
-Alors,les brillantes déduction de mon père...
-C'était moi. grace à divers gadgets inventés par le professeur Agasa et à l'aide d'Heiji,j'ai pu continuer à résoudre des affaires,tout en conservant mon identité,et en recherchant les hommes en noirs.
-Mais pourquoi ne m'en as-tu pas parler?j'aurai pu t'aider!
-Je ne voulais pas te mettre en danger.
-Et tes parents?
-Ne t'inquiète pàas,eux aussi sont au courant.
-Et moi qui te donnait des soucis en plus à cause de mes soupçons stupides.Pardonne-moi Shinichi,je suis si stupide.
-Mais,Ran,tu pleures?Oh,pardon!Je ne voulais pas ça,c'est moi qui suis idiot,arrete de pleurer,Ran,je t'en supplie! Trop,tard,maintenant on pleure tous les deux.
-Excuse-moi
-Non.C'est moi qui m'excuse.Je ne voulais pas te faire pleurer. Je déteste quand tu pleures.Je veux te voir heureuse.Je ne veux que ton bonheur,Ran.
-Oh...Shinichi...
-Autre chose,Ran...Ran...Je...Je t'.... JE T'AIME!!!
-Moi aussi Shinichi!!! "
Puis,je me mets à jenoux devant-elle,avant de sortir la bague que j'avais du acheter avec mes économies et lui demande:
" -Ran Mouri,veux-tu m'épouser?
-Oui!!! evidement gros beta!!!
-Oh merci!J'avais tellement peur que tu dises non après ce qui s'est passé!
-Comment pourrais-je dire non à l'élu de mon coeur? "
après cette parole,elle m'enlace et m'embrasse tendrement.
Je frissonne de plaisir. Voyant cela,Ran me regarde amoureusement dans les yeux.Je la regarde comme pour lui répondre.
On court jusqu'à ma chambre et on fait l'amour jusqu'à n'en plus finir.
Voila. Nous arrivons maintenant réellement àla fin de mon ou nplutot de notre histoire.
Car quelle meilleure fin que de faire l'amour avec celle que l'on aime?
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Re: premier concours
par Conan-kun Dim 2 Aoû - 15:37
J'ai attendu les dernières fics mais je ne les ai pas recu...
Il a été difficile de vous départager. Vos fictions étaient aussi bonnes les une queles autres...
mais il a fallut que je fasses un choix (comme c'était diffficile TT___TT)
Je déclare donc :
SAKURA VAINQUEUR !!!!!!!
félicitation ^^
Il a été difficile de vous départager. Vos fictions étaient aussi bonnes les une queles autres...
mais il a fallut que je fasses un choix (comme c'était diffficile TT___TT)
Je déclare donc :
SAKURA VAINQUEUR !!!!!!!
félicitation ^^
c'est qui ca??? xdThe White Angel a écrit:
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Re: premier concours
par Jen Pak Dim 2 Aoû - 17:08
Félicitations Sakura! 
Moi aussi j'ai adoré ta fanfic mais celle aussi de White Angel
Moi aussi j'ai adoré ta fanfic mais celle aussi de White Angel
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Re: premier concours
par Maxikonan Dim 2 Aoû - 18:09
Bravoooooooo ! Et elle gagne quoi Sakura ?
et bien c'est quelqu'un qui a souhaité participer au concours car j'avais aussi lancé l'appel de candidatures sur le site.conan-kun a écrit:c'est qui ca??? xdThe White Angel a écrit:
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Re: premier concours
par Conan-kun Dim 2 Aoû - 18:11
oki ^^.
et Sakura gagne un dessin de son choix envoyé chez elle ^^.
Je vais organiser un nouveau concours ^^
et Sakura gagne un dessin de son choix envoyé chez elle ^^.
Je vais organiser un nouveau concours ^^
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Re: premier concours
par Maxikonan Dim 2 Aoû - 19:29
par contre ne fait pas un concours de fanfics pour la prochaine fois car ils faut que ceux qui n'arrivent pas à en faire puisse gagner qqchose
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Re: premier concours
par Shinichi Sam 15 Aoû - 10:13
Super fic The White Angel! ^^
Et Bravo Sakura =) Tu nous montrera le dessin que t'as reçu, hein? =) Si jamais un jour vous voulez faire un concours de dessins, attendez que j'arrive à scanner mes oeuvres (terriblement moches mais tant pis xD)
Et Bravo Sakura =) Tu nous montrera le dessin que t'as reçu, hein? =) Si jamais un jour vous voulez faire un concours de dessins, attendez que j'arrive à scanner mes oeuvres (terriblement moches mais tant pis xD)
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Re: premier concours
par Sakura Sam 15 Aoû - 19:23
Merci =) ! Dès que Conan-Puu me l'aura envoyé, comptez sur moi pour vous le montrer (dédicacé en plus la classe !).
En tout cas si c'est un concours de dessin ce sera sans moi (je suis une m**** en dessin c'est à peine si j'arrive a faire des yeux... ben en fait non j'y arrive pas ^^)XD
En tout cas si c'est un concours de dessin ce sera sans moi (je suis une m**** en dessin c'est à peine si j'arrive a faire des yeux... ben en fait non j'y arrive pas ^^)XD
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Re: premier concours
par Shinichi Dim 16 Aoû - 13:55
Ba d'un autre côté c'est dur les yeux :/ 'Fin j'trouve Et ce sera un dessin de conan-kun?
Et ce sera un dessin de conan-kun?
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Re: premier concours
par Jane Dim 16 Aoû - 14:45
Désolée si ce n'est pas ici qu'il faut posé la question mais je me lance !
Il y aura-t-il un nouveau concours ( fan art , ou bien encore un fanfic ... ) ?
Il y aura-t-il un nouveau concours ( fan art
, ou bien encore un fanfic ... ) ?
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